Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Emiliana Torrini : Me and Armini

    La plupart du temps, j'écoute du bon gros tube pop Rock commercial proposé par les majors du disque et leurs filiales radio-télévisées. Et puis, de temps en temps, je sors des sentiers battus pour me pencher sur de l'atypique, comme ça l'est ici pour Emiliana Torrini, une chanteuse islandaise qui a reussi a attirer mon attention une seconde fois. La première, c'était ici. Oui, à cette époque là, j'écrivais encore en centré sur mon blog, et je mettais des filles à poil en fond d'écran tous les jours : véridique. Mais là n'est pas le sujet. Le sujet, c'est que cette demoiselle sort un nouvel album. Comme j'ai été séduit une première fois, j'ai redonné ma chance au produit en téléchargeant le single "Me and Armini", qui est aussi le nom du nouvel album. C'est entraînant et à la fois indéfinissable, à la croisée du jazz et de je ne sais pas quoi... Bref, j'aime bien. Et le principe du blog, c'est un peu de partager ses découvertes et coups de coeur, non? Si ! Sinon je me casserais vraiment pas le cul et aurais gardé tout ça pour moi. Quelle preuve incroyable de mon altruisme bourré de classe internationale. Je sais. Je sais. On me le dit sans arrêt.

    5 commentaires Lien permanent Catégories : Musique
  • Australia, de Baz Luhrmann

    Australia_dave.JPG

    Australia est un de ces films difficiles à commenter et à juger. Concrètement, je suis resté sur une impression aigre-douce. Ce n'est pas un film extraordinaire, mais tout n'est pas à jeter. Dans Australia, ca commence comme un conte. C'est drôle, invraisemblable, les kangourous sautent et émeuvent "Missis Boss" et les paysages (parfois mal foutus) sont beaux. Et puis subitement, après la conduite du troupeau et l'arrivée à Darwin, le film prend une autre tournure, plus mélodramatique, plus naze, plus convenue et surtout moins "ludique". Bref, mi figue, mi raisin, avec une légère bascule en défaveur de ce film, car il finit sur la mauvaise impression...

    4 commentaires Lien permanent Catégories : Cinéma
  • Jonathan Littell : Les Bienveillantes

    Seulement 50 pages parcourues et le malaise plane déjà au dessus de ma tête, telle l'épée de Damoclès. Les Bienveillantes nous met face à l'abominable, face à ce que l'être humain est capable de faire à ses semblables. Pour ceux qui ne connaissent pas cette oeuvre, il s'agit d'un récit autobiographique (fictif mais complètement réel puisque de nombreux soldats/scientifiques allemands ont participé à la Solution Finale) d'un ex nazi qui décrit son implication et son rôle dans la Shoah. Des expériences aux massacres intensifs, aucun détail n'est épargné. Au delà de son implication, c'est la froideur et l'absence quasi totale de remords qui a l'air saisissante. Je n'y suis pas encore, mais je sens que ça va me retourner le ventre. Bref, ce livre a reçu le prix Goncourt en 2007. Ca veut dire ce que ça veut dire (a comprendre que c'est un gage de qualité) et je ne saurais que vous le conseiller.

    header_home.jpg
    12 commentaires Lien permanent Catégories : Ô mes Lectures...