Wrangler : la première fois que j'ai lu et entendu ce mot, je vous avoue que je ne faisais pas le malin. Wrangler est une marque de Jeans, américaine, et qui est la numero 1 au pays de l'Oncle Sam, devant Levi's et Lee Cooper. Oui, rien que ça. Par contre, la marque est moins connue hors du pays aux stars & stripes. Un peu comme Johnny Cash en Europe quoi, si on fait dans la métaphore à deux balles digne du taulier de ce blog. Bref, j'ai été convié la semaine dernière à découvrir Wrangler et sa ligne mythique Blue Bell, qui a plus d'un siècle pour la petite histoire. Wrangler, c'est un style, et une manière de faire les jeans qui est unique et reconnaissable parmi des centaines paraît-il. Solide, souple, et confortable, la marque a été pensée pour pouvoir etre portée à cheval par des fiers cowboys et être suffisamment robuste pour les ouvriers de chantier : autant dire que vous n'avez pas de la petite toile légère autour des cuisses. Ce qui était vraiment cool de la part de l'équipe présente, c'était cette Histoire de la marque et du "jeans" en général. Si vous voulez avoir un aperçu de leur site et de quelques modèles de la marque Blue Bell, ça se passe par là. Moi, je suis reparti avec un jeans "Regular", le modèle "James", et je peux vous dire que j'ai quand même la classe internationale à l'intérieur...:-)
Oh my Bloogness ! - Page 240
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A la découverte de Wrangler !
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La musique comme instrument de torture?!
Guantanamo : ce nom sonne pour l'administration américaine comme une plaie. En attendant la fermeture de cette prison, promise par Obama, les scandales s'accumulent. Après les tortures physiques et diverses atteintes à la dignité humaine, voici qu'on apprend cette fois que la musique a été un instrument de torture avéré. Volume au maximum et chansons répétées en boucle, tout était fait pour "casser" les prisonniers. Cliquez ici pour connaître les suites de cette affaire. C'est quand même incroyable tout ça. En effet, imaginez un peu, en France, si on vous passait du Lara Fabian en boucle et à fond dans votre cellule de la Prison de la Santé ? Oui, vous pèteriez un cable, c'est sûr.
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Cormac McCarthy : La route... (on va tous mourir)
Je suis en train de lire en ce moment "La route", de Cormac McCarthy, prix Pulitzer 2007. L'histoire est simple: celle d'un fils qui voyage avec son père à travers des USA dévastés, ou partout il n'y a que mort et désolation. Ils essaient de survivre, au quotidien, d'échapper aux rares autres survivants, dont certains sont devenus cannibales, etc... Bon ok, l'histoire est prenante, le rythme haché (ca se lit vite et facilement) et le tout assez inquiétant après une centaine de pages. Or mais voilà : justement, après une centaine de pages, on ne sait toujours pas ce qui s'est passé ni pourquoi on se trouve dans un no-man's land de vide et de cendres. Et apparemment je ne le saurai pas puisqu'en faisant des recherches sur le bouquin je me suis pris un gros SPOIL dans ma face. Bref, tout ça m'interloque. Pourquoi ?