Franck Gaillard, Rémy Bourgoin, Loïc Muller ou encore Astrid Von Kluft? Késaco?

Et bien ce sont 4 parmi les 17 nouveaux personnages de Camera Café 2, alias Digix "La boîte du Dessus". Oui messieurs dames, Caméra Café revient et très sincèrement c'est du bonheur en barre qui s'annonce. En effet, j'ai eu l'opportunité de participer à l'organisation d'une projection en avant première de 7 épisodes de la nouvelle mouture de Caméra Café, 7 ans après l'arrêt de la mini série qui a été suivie par deux films sur Grand écran. Ces épisodes ont fait rire la salle comme rarement une projection "presse/blogueurs" ne l'a fait. Les situations étaient extrêmement drôles et le jeu des acteurs vaut sans problèmes le détour (mention spéciale à Franck Gaillard, alias Arnaud Ducret dans la vraie vie, qui est complètement barge en cliché ambulant du commercial). Le pitch ? "Hervé Dumont" vend la célèbre machine à café à l'un des employés de "Digix". A partir de là, on suit le périple des salariés de cette société qui a l'air haute en couleurs...

Skins, ou la jeunesse dépravée...

Skins, c'est encore une petit bijou de série que j'ai regardé pendant les fêtes de fin d'année. Cette série nous propose de suivre les aventures d'un groupe de lycéens anglais qui je l'espère n'est pas comme les autres. C'est très sex, drugs & rock&roll et ça aborde de nombreux sujets auxquels sont confrontés les jeunes d'aujourd'hui : anorexie, fiestas, coucheries, alcool, grossesses non désirées...et j'en passe. C'est aussi très trash par moments. Mais là où c'est très bien fichu, c'est que chaque épisode a sa propre ambiance et insiste davantage sur un personnage, pour en montrer sa complexité, ses démons et ses joies. Bref, laissez vous séduire, ca se regarde très rapidement (saisons de 12 épisodes) et les deux premières saisons sont tout bonnement exceptionnelles.

A thing of beauty is a joy for ever : Bright Star

Que dire sur ce film, hormis qu'il est très beau, aucunement surfait et d'une simplicité folle ? Bright Star, c'est une histoire d'amour au sens classique. Presque platonique car quasiment tout s'y dit avec des regards. C'est aussi l'une des romances épistolaires les plus célèbres de ce monde entre John Keats et Fanny Brawne...