Ahmadinejad: plus les choses changent, et plus elles restent les mêmes...

Le Courrier International l'avait annoncé: "Pourquoi Ahmadinejad pourrait gagner?" Parce que, comme à chaque fois dans des pays où la démocratie est d'un subjectivisme plus que relatif, les urnes sont probablement truquées et parce que tout le monde retourne sa veste au dernier moment. En même temps, cela est tout à fait humain, puisqu'au final tout le monde regarde ses intérêts ou l'épée de Damoclès qui pourrait subitement tomber. C'est ce qui s'est passé un IRAN. Ahmadinejad était clairement contesté, une défaite était envisageable et voilà qu'il remporte l'élection dès le premier tour. Moi je dis: trop la classe internationale.

Aimer, mûrir et trahir avec la coiffeuse : une fatalité ?

Cette semaine, j'ai pu assister au spectacle de Frédéric Recrosio, au Théâtre de Trévise, en présence de gens de très bonne compagnie, puisque j'ai eu l'occasion de reluquer le beau Pingoo, de rencontrer la piquante Miss Mazaurette de Sexactu, de revoir le grand Chandleyr après nos frasques Cannoises et de faire sortir les meilleurs collègues du monde et propriétaires de Geek & cochonneries et de Nazab. Le tout orchestré par la glamourous Alexiane. Mais ce spectacle, késaco ? En fait, ce spectacle, c'est la vie de Frédéric Recrosio. Ses histoires, son rapport avec l'amour, la fidélité et surtout le "Mick Jagger" qui sommeille en chacun de nous messieurs. Bien sûr, c'est drôle, subtil, parfois un peu trash mais toujours de bon goût et je ne peux que vous le recommander. A la fin du spectacle, une question demeure en tête : l'amour parfait, fou, éternel, inconditionnel (et autres adjectifs du genre) existe-t-il ou doit-on finir inlassablement par s'habituer à tout, y compris à l'autre? Bref, c'est la grande question métaphysique de la semaine... Allez, comme je suis sympa, je finis par un extrait.

Une blonde et une brune...rien que pour moi.

Messieurs dames, voici le duo qui m'accompagne aux States. C'est pas la classe internationale ça? Il ne manquait plus qu'une rouquine et je faisais le grand chelem comme Rodgeur Federer. Bon, plus sérieusement, je les connais depuis une dizaine d'années. La blonde c'est Caroline, et elle a été ma camarade de classe pendant 8 années de suite, depuis le lycée et même après la prépa. La Brune, Marie, je l'ai connue en Prépa, et depuis 6 ans nous nous voyons régulièrement. Ce voyage, ce sera l'occasion de vivre quelque chose de fort qui nous marquera à jamais. Bon, là, je sors des grandes phrases clichés à la mors moi le noeud, mais ça se trouve je ferai grave moins le malin dans la voiture, quand ça causera crème dépilatoire et compagnie... Mais bon, qui vivra verra. Allez, je finis par une spéciale dédicace à "M.M" : mais non, il ne se passera rien...