Plus on passe de temps sur une note, moins elle est commentée ! Exemple : je torche une note à la con comme celle du 2 septembre en 5 minutes, et je vais y avoir 60 commentaires, parce que la note "interpelle" tout le monde. Idem quand je me fous de la gueule de l'île de la tentation, à tel point qu'on finit par croire que toute la Terre regarde cette émission! Inversement, quand je ponds une belle note comme celle d'hier ou encore sur Hicham El Guerrouj (ou j'y mets du coeur, de l'âme, de la sueur et des larmes), tout le monde s'en branle. Je me demande même si la note a servi à quelque chose ou si elle a donné envie d'en savoir plus sur la personne en question. Mais ça, on ne le saura jamais ;-)
Oh my Bloogness ! - Page 335
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Les voies du blogging sont décidément impénétrables ;-)
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Le discours héroïque : Choniques d'un passage obligé au cinéma
Ce soir, j'ai revu l'excellent film "L'enfer du dimanche". Ca cause de foot américain, sport qui à mes yeux est plutôt peu passionnant mais incroyablement "télégénique". Dans ce film que je vous conseille sérieusement, et ce pour de nombreuses raisons (réalisation nerveuse signée Oliver Stone, casting dantesque et convaincant...), il y a un passage classique du genre : le discours du coach avant un match ultra important. Le discours d'Al Pacino est bien entendu inspiré et magnifique, à tel point que j'étais à trois centimètres de me prendre une licence de foot américain et de rejoindre mon équipe des "Spartiates" d'Amiens. Mais grâce à un extraordinaire moment de lucidité, je me suis ravisé à la dernière minute.
Ce passage m'a rappelé beaucoup de grands moments de cinéma, dans des registres autres que celui du sport. Instinctivement, je pense à "William Wallace" dans Braveheart avant la première grande bataille contre les anglais. Je pense aussi au Seigneur des anneaux et aux multiples discours de Theoden ou encore d'Aragorn. Ce genre de moments est parfois con, stéréotypé, mais j'avoue avoir un petit faible pour eux, car ce sont des moments de calme avant la tempête... Si vous pensez à des moments qui vous ont "marqué" à jamais, n'hésitez pas à m'en faire part dans les commentaires. En attendant, je vous laisse en compagnie du fabuleux Al Pacino...
Les Miami Sharks sont dans une mauvaise passe. Leur quarterback star Cap' Rooney (Dennis Quaid) est blessé et est de plus en plus contesté au sein de l'équipe à cause de son âge, notamment par l'ambitieuse présidente de la Franchise Christina Pagniacci (Cameron Diaz). De plus, l'entraineur Tony D'Amato (Al Pacino) est critiqué car considéré hors jeu. Le jeune Willie Beamen (Jamie Foxx) remplace Cap'. Rapidement, les résultats des Sharks s'améliorent, et Beamen voit sa popularité grimper. S'instaure alors une guerre entre Beamen, qui veut mener les matchs à sa manière, et D'Amato qui compte bien se faire respecter jusqu'au bout de sa carrière, dont il sent la fin proche. -
"Nan mais tu vas pas sortir comme ça?"
Cher lecteur, chère lectrice. Les images qui vont suivre sont criantes de vérité. Alors si tu as une âme d'enfant ou si tu es trop sensible, ne clique surtout pas. Ces images te questionneront sur des choses diverses et variées. Si pour chacune des questions qui tu réponds "oui" et que jeudi soir tu es libre et parisien(ne), alors je t'invite solennellement à prendre part à l'une des soirées les plus déjantées du moment. Plus d'événements sur cette soirée ici. Bon, je devais en être, mais malheureusement j'ai entraînement de foot et je ne peux vraiment pas esquiver. En attendant, répondez aux questions en cliquant sur le "lire la suite" et prenez une décision...