# Un jour sur terre : Ode à la beauté vivante de notre planète...

"Un jour sur terre, c'est avant tout un choc émotionnel". Voir la planète aussi bien filmée ne peut laisser indifférent. En sortant complètement abasourdis de ce spectacle grandiose, on se pose forcément des questions : à quoi joue-t-on avec la planète ? Mérite-t-elle ce qu'on lui fait subir ? Peut-on vraiment inverser le cours des choses ? J'aimerais tant avoir une boule de cristal sous la main...et savoir ce qu'il adviendra d'ici 10, 15, 40 ou 100 ans. Bref. Allez le voir, c'est tout simplement magnifique.

 

De la coke, de l'alcool, des bad trips et du cul pour 15,24 €

J'ai tout résumé dans le titre de l'article. Film très superficiel, pas très profond et surtout pas vraiment drôle qui part dans tous les sens. A la rigueur, le terrible "attentat publicitaire" vaut le coup d'oeil...sinon, bah...pas grand chose à dire. Ah oui, si vous êtes épileptique, évitez ! En effet, le rythme est saccadé et c'est trop bling bling tellement ça clignote et bouge de partout. Jan Kounen s'est même pris pour Tarantino en incorporant un petit dessin animé dans le film ! Mais le plus grand regret est dans le fait d'avoir osé espérer que le personnage d'Octave Parango soit plus profond que ça. Mais non. PS: une petite surprise vous attend à la fin du générique avec la première publicité de l'histoire...c'est un point sympathique !

 

 

Edit : selon MariePap, le film respecte à 100% l'esprit du livre de Beigbeder. Comme je connaissais à peine le bouquin, je suis allé au cinéma sans idée préconçue. Au final, je n'ai pas vraiment aimé le film ni sur le fond ni sur la forme. Il ne m'a aucunement donné envie de lire le livre. Et j'insiste sur la forme, car je suis persuadé que quelqu'un qui a lu le livre et qui l'a adoré peut très bien détester ce film ! Mots et images ne font pas forcément toujours bon ménage.

"Regarde moi" : bravo à une jeune actrice dénommée Emilie de Preissac...

Une journée qui commence comme les autres dans la banlieue parisienne. Jo, futur joueur en formation au football club d'Arsenal, entame un footing, Yannick veut reconquérir sa belle Mélissa et Mouss aimerait concrétiser sa relation avec Daphné. 24h pour se sceller un destin. Même journée qui démarre comme les autres pour Fatimata et Julie. Sauf que Fatimata est noire que Julie est blanche, qu'elles aiment le même garçon et que les prochaines 24h les réuniront à jamais.

Quelle claque. Un scénario simple, une mise en scène parfaite. Des jeunes (acteurs?) parfaits et des grands moments. Je pense surtout à ce moment précis où une jeune fille, battue par d'autres filles, vient "essayer", en pleurs, d'avoir du réconfort dans les bras de son père alcoolique, la clope au bec, qui dort... Une "journée" dans la vie de ces banlieusards où il s'agit finalement, et uniquement, d'amour et de haine. Mais surtout d'amour.