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Cinéma - Page 69

  • Sex and the City : JE L'AI VU !

    La scène était apocalyptique. On frôlait le crime contre l'humanité. Bon ok, l'humanité toute entière, peut-être pas. Mais mon humanité à moi, sûrement. Mon intégrité physique était bafouée, mes droits les plus essentiels en tant qu'être humain également... Ma Lucile, 1m60 de fureur (et de charme absolu), me tirait pas les cheveux (pourtant je n'en ai pas beaucoup) pour que j'aille au cinéma avec elle voir Sex and The City. J'en ai encore des stigmates.
     
    Bon, ça c'était pour l'intro, histoire de débiter quelques conneries et éventuellement vous arracher un sourire intérieur. Sinon, le film se résume à un vulgaire catalogue publicitaire. Les seules fois où je rigolais, c'était lors des apparitions de Samantha Jones, la chaudasse de service malgré ses 50 balais. Elle, elle assurait un max. Sinon, le scénario en lui même est très classique, fidèle aux comédies romantiques de base et tient tout à fait la route, même s'il ne casse pas trois pattes à un canard. Par contre, v'la la pub qu'on se ramasse dans la gueule. Le fait "d'entendre" le nom des marques à tout bout de champ est d'un agaçant absolu. Exemple : la scène où Carrie essaye diverses robes de mariage est pathétique. Même sa "bonne" a un surnom de bagagiste international (Louise Vuitton...pfff). En conclusion, rien de bien renversant mais ça se regarde! 
     
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    Ps: Mais que fout "Big" avec Carrie ? Elle est aussi belle qu'un cheval mort sous un obus anglais à Waterloo! Non?

    10 commentaires Lien permanent Catégories : Cinéma
  • Autant en emporte le vent : un classique extraordinaire !

    Au commencement, il y avait une question. "Quel classique absolu n'avez vous jamais vu ?". J'ai répondu "Autant en emporte le vent". Ma Pascale a failli s'étouffer en lisant ma réponse. Elle était tellement indignée et attristée par mon sort qu'elle m'offrit le Dvd. Je l'ai regardé hier et aujourd'hui (oui, il dure 3h50 le film) et je me suis pris une claque. Je comprends tout à fait que ce film fasse partie des plus grandes oeuvres cinématographiques de tous les temps et qu'il ait remporté 10 oscars à l'époque (record absolu pendant des décennies).
     
    Avant de sortir les adjectifs grandiloquents qui s'imposent, il faut se replacer dans le contexte: 1939. Premières images en couleur. Ca peut faire peur, mais le film est étonnemment "moderne" et bien conservé. "Effets spéciaux", casting dément en figurants...tout y est au service d'une histoire de dingue: l'histoire de Scarlett O'Hara, jeune adolescente qui devient femme très vite, trop vite, paumée et bouleversée par les ravages de la Guerre de Sécession, par l'amour, la vie, la mort...Un film comme Hollywood n'en fait plus, dont la fin est tout bonnement phénoménale et d'un autre temps, celui où les Studios ne faisaient pas systématiquement dans les happy-ends pourraves et habituels de nos jours. Scarlett Johansson s'appelle "Scarlett" à cause du personnage de ce film, pour la petite anecdote...Bref, un film épique, tout simplement, que je regrette de ne pas avoir vu plus tôt.
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    Ceci étant dit, vous allez faire ceci. Prendre vos petites pattes ou mains et louer, télécharger ou même voler ce film. Ca devrait faire partie de l'inconscient collectif de cette nation. C'est bon pour les yeux et pour la culture générale. Oublions les préjugés liés à ces vieilleries du XXème siècle. Si l'on parle de ces films encore aujourd'hui, c'est qu'il y a une raison. On ne les aimera pas tous (je déteste Citizen Kane par exemple), mais certains risquent de nous marquer de leur empreinte...

    13 commentaires Lien permanent Catégories : Cinéma
  • Las Vegas 21 : mais quelle est donc cette vaste fumisterie ?

    Bon, pour faire court, ce film est bidon. Ca, c'est pour ceux qui n'ont pas le temps de lire le lynchage qui va suivre. Primo: que de longueurs !! J'adore les ralentis, mais voir des cartes, des recartes, des regards de matheux qui énumèrent, des comptages de cartes à n'en plus finir pendant 15 minutes vers le milieu du film (période jubilatoire où "tout roule" pour les protagonistes), ça fout peut-être une érection à un joueur de black jack, mais moi, ça m'endort. Deuxio, la morale du film est à chier, surtout à la fin. Le mec est fier de son "expérience de vie" alors qu'en réalité il mérite des claques. Pour cette partie je ne peux rien dire sans trop spoiler, donc je ne le fais pas. Ceux qui l'ont vu acquiesceront j'espère. Tertio, que de clichés...C'est tellement risible que je n'en dis pas plus. Mais le pire du pire, c'est surtout que cette "histoire" vraie de 5 étudiants ne casse pas trois pattes à un canard. C'est surtout ça le pire. S'ils n'avaient pas mentionné ce fait là, j'aurais sûrement été moins déçu...
     
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    7 commentaires Lien permanent Catégories : Cinéma