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Comme vous le savez peut-être déjà, je travaillerai et vivrai à Paris à partir de fin octobre. Je quitte donc Amiens, ville dans laquelle j'évolue depuis maintenant une dizaine d'années. De ma fenêtre, j'entrevois le "Quai bélu". La nuit, c'est une petite merveille, avec de nombreux restaurants illuminés au bord de l'eau...Nostalgie active...
Il y a 10 ans naissait la Peugeot 406 coupé...voiture qui allait devenir pour moi LA plus belle de sa génération. J'aimais les lignes, fluides et agressives à la fois. C'était une voiture qui avait un côté sportif et élégant. Puis vint la 407 coupé, plus récemment, qui était encore plus "méchante", avec notamment ces entrées d'air qui ressemblent à des fentes branchiales de requin. Je suis fan. Je me dis qu'aujourd'hui, je préfère m'acheter une 407 coupé que n'importe quelle berline allemande de même catégorie.
Et Renault dans tout ça ? Et bien Renault, grâce à une campagne de Balistik-Art que j'ai pu observer récemment (top qualité, participation de blogueurs spécialisés dans l'univers de la mode) et que je vous fais peut-être découvrir au passage, lancera très prochainement un coupé Laguna. Force est de constater que la voiture est juste magnifique et qu'elle risque de modifier l'ordre établi de mes préférences. A noter le changement de carrosserie, avec une voiture plus ronde, plus fluide, moins carrée que les Lagunas précédentes (je pense à l'arrière notamment) et aux antipodes de la Vel Satis (qui ressemble davantage à un Lego qu'à une voiture)... Pour voir la campagne de Balistik-art, cliquez sur "lire la suite" !
Week end à la fresh, avec une autre séance cinéma : Mirrors. Mirrors, c'est une bonne intrigue, qui démarre avec une scène tout simplement phénoménale et qui plante le décor. Ensuite, une demie heure pendant laquelle Jack Bauer met un peu de temps pour comprendre ce qui lui arrive. Cette période là est plutôt chiante, mais bon, la suite est tellement prenante que l'on pardonne le réalisateur sans trop de problèmes. Ce film, je l'ai trouvé flippant, à tel point qu'en rentrant chez moi, j'avais presque peur de me regarder dans le miroir de l'ascenceur...
