politique - Page 43
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A l'aube du premier match amical de la saison...
J'ai fait environ 8 bornes en environ 40-45 minutes. J'en peux plus. Ca me troue de ne pas pouvoir suivre des trentenaires parfois bedonnants. Je crois que je suis explosif et non endurant. Heureusement qu'en vitesse pure je suis plus fort que la majorité de l'équipe quand même, sinon mon ego en aurait pris un sacré coup... Bref, ça viendra. Je vous laisse, je pars m'étirer, la mort dans les chaussettes :-) -
Couleur café, que j'aime ta couleur, café !
Impossible de démarrer la matinée ou l'après-midi sans café. Mais ça, ça n'est valable qu'au boulot, c'est pas encore indispensable à la maison, je ne sais pas pourquoi...
Ah si ! Peut-être parce qu'à la maison c'est la glande et qu'au boulot je suis obligé de taffer... et en ce moment, c'est rapport sur rapport.
Je suis caféïnomane, c'est mauvais signe...à 23 ans bientôt. Oui, plus que 8 jours pour me faire un cadeau...
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Quand cinéma rime avec plaisir...
2 films si différents, mais deux moments ô combien mémorables…
Le vent se lève (« The wind that shakes the barley… ») est un excellent film, hymne à la liberté d’une tristesse et d’une violence inouïe. Ce film marque par sa simplicité. Pas de too much hollywoodien, des acteurs engagés et convaincants, filmés simplement, mais efficacement. Ce qui est incroyable dans ce film, c’est la fierté des hommes, qui n’hésitent pas à s’entretuer à contrecoeur entre compatriotes pour des « principes ». Le film s’achève sur une bien triste barbarie... (EDIT : FIN DE PHRASE MODIFIEE)
Quant à Miami Vice, j’ai frissonné… Cette atmosphère était grandiose et je reconnais bien là la patte de Michael Mann, unique dans sa façon de filmer… Ces gros plans, ce type d’image (identique dans « Collatéral »), cette violence…froide et sans pitié…cette musique prenante… Contrairement à ce que beaucoup pensent, j’ai trouvé le jeu des acteurs brillant. Le film est d’un réalisme implacable. Le final est magnifique, ainsi que cette scène ahurissante du sauvetage de « Trudy », pour ceux qui l’ont vu.