Question métaphysico-physio-psychophysique sur nos mains à la fois soumises et rebelles...

Oui, le titre est con comme pas possible, j'en conviens. Voici l'objet de mon interrogation : certains jours, j'écris très bien. J'entends par là que tout est fluide, que je ne fais aucune rature, que tout est bien droit et parallèle...bref, tout est beau. D'autres jours, j'écris n'importe comment. Mon cerveau me dit "e" ça se matérialise par un "o", je rature à tout va, je me sens crispé du poignet...bref, ça ne ressemble à rien. Pourtant, c'est le même stylo Bic à la con que la veille ! C'est le même bureau, la même feuille blanche, les mêmes post-its. Et ça m'arrive même quand je pète la forme. Le fait de presque tout rédiger à l'ordinateur pourrait expliquer une baisse de la qualité rédactionnelle. Mais uniquement les jours où j'ai du mal à aligner les mots...pas les autres.

Quelqu'un m'explique? "Pourquoi y a-t-il des jours "avec" et des jours "sans"...?

Jelena Jankovic est une grosse chaudasse...

"HHHuummm cette jelene jankovic quelle bonasse regarder moi ces miches et cette tete de bonasse a te faire peter le cul grosse salope vas y descend tout j'arrive et tinkiete jvé te faire bouffer ma bite une petite branlette espagnole pour commencer sur tes nichons bien mou s HHuumm."

 

C'est pas moi qui le dis, c'est Toto sur cette note. On dirait que ça vient du coeur tout ça...(et de la braguette aussi)! Néanmoins, tout ça me fait un peu peur et reflète un peu la mentalité de beaucoup trop de consommateurs de porno qui croient que faire l'amour à une fille rime avec faire des gorges profondes. Bref. Franchement, ça me donne presque envie de créer une nouvelle catégorie sur ce blog : "le commentaire de la semaine". A suivre... En parlant de porno, que pensez-vous de ce business ? 

 

Etes-vous heureux ?

Moi je le suis. Evidemment, tout ne se passe pas forcément comme je l'aurais souhaité et on ne peut pas avoir tout ce que l'on veut dans la vie. Mais globalement, je crois que je suis verni par la vie. En fait, je vous pose la question parce que je crois que ma propension à croiser des gens qui tirent la gueule dans la rue est assez phénoménale. Soit j'ai volé la part de bonheur qui revenait à d'autres, soit il règne en France (globalement) une sinistrose ambiante. Je pencherais davantage pour cette deuxième hypothèse. La question est donc simple: êtes-vous "heureux", chers lecteurs ? Avoue que je te secoue et que tu n'oses pas me répondre...