Ca faisait une éternité que je n'avais pas eu tout simplement PEUR au cinéma (gros blasé). Et rien que pour ça j'ai adoré ce film. J'ai été littéralement pris à la gorge, j'ai eu mal au ventre de crispation tellement les dernières 20 minutes sont incroyables. Et ce qui est fort, c'est de sentir que toute la salle est tendue, car vous sentez les gens bouger sur leurs sièges, se redresser, respirer fortement...WAOUH ! Bref, A VOIR, faites moi confiance !
Cinéma - Page 74
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# .REC : Brrrrrr, j'en frissonne encore !!
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"Mongol" : Genghis Khan était-il boucher ou visionnaire ?
Qu'on soit clairs dès le départ: je n'ai pas aimé le film. Bien que je lui reconnaisse des qualités indéniables, comme le rendu visuel, le jeu convaincant des acteurs principaux et l'ambiance globale du film, je dois avouer que je me suis légèrement emmerdé pendant la première heure (ça fait long) du film. Mais outre le rythme, ce que je n'ai surtout pas aimé, c'est le contenu de l'histoire. En effet, je vous signale que nous sommes censés assister au grand destin de Genghis Khan (cf:l'affiche), mais en une heure et cinquante cinq minutes, tout ce que je vois c'est un gosse qui choisit une femme, puis qui devient barbu avec des cheveux de hippie. Il paume sa femme, la retrouve, la repaume, devient esclave et la re-retrouve. Et à la fin, l'air de rien, sans transition réelle, voilà qu'on apprend qu'il veut fonder une grande nation mongole. Oui parce qu'il en a marre des petites guerres entre clans (Gangs of Oulan-Bator). Et cette partie, celle où il fédère un peuple derrière sa bannière (la plus importante à mes yeux), elle dure, accrochez-vous bien, 3 secondes. Tout ça pour finir avec un combat final (classique) contre le dernier Khan qui lui résiste. Bref, je fais des raccourcis, mais je reste dans l'esprit du film. Trop rapide. Trop hâché. Je crois que je n'ai pas vu ce que je voulais voir, en fait.
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Quoique veuille Lola, elle l'obtient...
Lola est une jeune New-Yorkaise, gentillette, idéaliste et surtout pas très mâture dans sa tête. Après trois semaines d'une petite idylle à deux balles, elle tombe amoureuse d'un égyptien (beau gosse aux canines de vampire) qu'elle va suivre jusqu'au Caire pour finalement se faire jeter comme une vieille chaussette. Paumée, elle cherche à rencontrer la seule femme egyptienne qu'elle connaît, la danseuse du ventre "Ismahan", jadis une star mais aujourd'hui considérée comme une péripatéticienne à cause d'une relation extra-conjugale. Après un premier contact très "compliqué", elle va finir par lier des liens avec Ismahan et devenir une véritable star de la danse au pays des pharaons. Bref, une "cendrillon" des temps modernes, dans un film "gentillet" qui a au moins le mérite d'être un véritable hymne à la féminité et à la sensualité. La petite Laura Ramsey est toute pimpante et illumine ce film de son enthousiasme.