L'acte sexuel en soi est bien entendu physique, mais surtout psychologique, car son moteur principal est le "désir". Vous en conviendrez par conséquent qu'il faut le susciter chez votre partenaire. C'est dans cette optique que Sexyavenue, boutique en ligne de produits et accessoires érotiques, m'invite à partager avec vous mes 3 "ingrédients" pour une soirée parfaite.
Primo, le look. T'as beau être super bien gaulé(e), si tu t'habilles comme ton grand-père (ou ta grand mère) ou comme Al-Bundy (ou Peggy Bundy), tu ne risques pas de faire affluer le sang dans aucun "membre" ou organe de ton partenaire. Oui, évite les vieux slips à pois verts pouraves de ton adolescence ou les bonnes grosses culottes de mémé, certes confortables mais peu séduisantes. Opte plutôt pour une jolie nuisette, transparente ou pas, ainsi que pour un joli boxer mettant ton popotin d'Apollon en valeur. Si beau popotin tu as bien entendu :-p
Deuxio, et là à mon avis c'est l'arme absolue des préliminaires, le massage. Attention hein, on parle plutôt des "caresses" que de massage au sens médical qui fait certes du bien mais qui n'excite pas (genre le massage de ton kiné quand t'as une lombalgie quoi). Et je parle en connaissance de cause puisqu'à la maison on a une huile de massage que SexyAvenue m'a généreusement fait parvenir. Cette huile est comestible en plus, donc on peut léchouiller son partenaire après usage sans danger d'intoxication "alimentaire". Et comme j'adore masser (et me faire tripoter) et papouiller, disons que c'est la partie que je préfère.
Tertio, la découverte et le jeu. Oser de nouvelles expériences, de nouvelles positions ou encore jouer à des jeux érotiques. SexyAvenue propose pas mal de doc pour éveiller la curiosité qui sommeille en toi. En tout cas, c'est la partie la plus difficile puisqu'elle fait un grand appel à l'imagination et n'est pas forcément "matérielle". Enfin, elle peut l'être, si vous vous procurez des accessoires comme les très en vogue sex-toys qui sont davantage utilisés à deux (contrairement à l'idée reçue) que tout seul...
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Il fut un temps, je donnais TRES souvent un peu de monnaie aux mendiants qui faisaient la manche. Ceux qui me sautaient dessus, il avaient presque toujours droit à une pièce. Quand j'avais vraiment pitié et quand on me prenait par les sentiments, j'arrivais même à donner 1€ en une seule fois (surtout quand on me regardait dans les yeux). Stupide que je suis. Je ne sais pas combien j'ai pu donner au fil des années, mais je pense que j'ai du atteindre un nombre à trois chiffres. Oui, ca me fait flipper quand j'y repense. Surtout quand je sais que la plupart de cet argent a servi à acheter davantage d'alcool que de nourriture. Pourquoi je donnais autant ? Au delà du fait d'être généreux de nature (si si, "trop bon trop con" comme on dit), je pense qu'il y a toujours eu un sentiment de "culpabilité" en moi. Culpabilité "d'avoir" et de voir des gens dans la galère qui "n'ont pas". The "haves and the have-nots", dans la langue de Shakespeare.