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Il y a quelques jours, lors d'un week-end en forêt dont je vous parlerai bientôt, j'ai pu tester et voir des photos que mon cher Richard avait prises de New York avec son Fish-eye, un Samyang 8mm f3.5. Le coup de foudre étant indiscutable, je me le suis payé quelques jours après, d'autant plus qu'il ne coûte vraiment pas "grand chose" (240 euros) pour un objectif.
Après 7 mois de bons et loyaux services, mon Kymco et moi avons décidé de nous séparer, d'un commun accord (même si j'étais davantage d'accord que lui - pour paraphraser "Grand Corps Malade"). Sa robuste motorisation et sa taille miniature n'auront pas suffi à mon bonheur, puisque plafonner à 45km/h était devenu un problème majeur.
Que du bonheur. C'est noël avant l'heure et ce qui devait arriver arriva, après quasiment 2 ans de 400D je suis passé à la vitesse supérieure avec le 7D. Ca faisait longtemps que j'étais un peu exaspéré par le 400D, impeccable de jour mais frustrant la nuit ou en conditions de faible éclairage. Les puristes, pros et pseudo pros vont me railler au nez en disant que le 400D est un excellent boitier dont je n'ai absolument pas tiré la quintessence. Je le sais, et le 400D sera mon boitier de "voyage", de "vadrouille" et "d'appoint". Mais pour ce que je veux faire, il fallait vraiment que j'arrete de me battre avec les ISO, avec les "longues poses" sous 1/10eme de seconde qui m'étaient quasi impossibles à faire parfaitement si je n'avais pas les coudes appuyés sur un support. J'en avais marre de mes photos bruitées et cramées dès que j'osais monter les ISO à 1600 (quel fou) dans certaines conditions qui l'exigeaient. Bref, j'avais envie d'un matos beaucoup plus performant, tout simplement. Et inutile de vous dire qu'entre le 400D et le 7D, c'est un peu comme si vous compariez une Lada à une Lamborghini. Oui, l'art de la métaphore, je connais.
