Le monde merveilleux de Walt Disney, c'est de l'arnaque...

C'est l'histoire du collègue de travail que vous croisez de temps à autre dans les couloirs, avec qui vous rigolez parfois pendant une réunion détendue et qui, une fois dans la rue, fait semblant de ne pas vous connaître quand il vous croise. Quand ça m'arrive ça me fout les nerfs. Le pire c'est quand le connard ou la connasse (qui t'a ignoré la veille alors que t'es passé à deux mètres de lui en le fixant des yeux pour lui dire poliment bonjour) surgit un beau jour dans ton bureau car il/elle a vraiment besoin de toi et fait semblant d'être ton pote. 

 
Je ne suis pas ce genre de personne. Je sais qu'un bonjour c'est un bonjour. C'est une marque de politesse. Dire bonjour n'implique pas qu'on va se parler 15 minutes ou se rouler des pelles après voir pris un café en terrasse. Oui ça m'arrive d'esquiver des gens que je n'aime pas et que j'ai des raisons de ne pas aimer, mais je n'ignore jamais quelqu'un que je connais (même uniquement "de vue") sous prétexte que je n'ai "pas envie" de m'écorcher la langue pour le saluer. A défaut, un signe de tête ou un échange de regards suffisent...

 

Mais je ne me fais pas de soucis, car la vengeance est un plat qui se mange froid... 

 

"Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé est purement non fortuite". Et en espérant que la majorité d'entre vous ne fait pas partie de ces connards là, je vous salue...

Sylvie Testud qui cherche son hôtel...

Et ca se passe devant mon appartement jeudi soir. En rentrant de l'entraînement de foot, je la vois avec son chien, un cerbère (gentil) avec deux têtes en moins et deux amis. Ils avaient l'air de galérer à 23h... Sur le coup j'ai pas tilté quand elle m'a demandé de la guider, mais le lendemain au bureau, devant le journal, pages culture, les neurones se sont connectés : "Sylvie Testud à la Comédie de Picardie pour plusieurs représentations". Ah merde, je savais bien que son visage m'était familier. Je l'ai vue dans "la môme" (Momone, l'amie d'Edith), "les blessures assassines" et dans "Stupeur et tremblements"...

 

Comment peut-on manquer d'inspiration sur son blog ?

Ci et là, au hasard de mes pérégrinations bloguesques, je lis des notes (y compris de certains de mes lecteurs) relatant des manques d'inspiration et compagnie, des "lassitudes" liées au blog etc... et je ne les comprends pas, surtout en ce qui concerne des blogs dits "persos", car le thème est illimité. Quand on a un blog consacré à un secteur de niche, je conçois que le manque d'inspiration vienne à un moment ou l'autre. Personnellement, j'ai toujours deux ou trois notes d'avance et chaque journée est riche en idées de notes potentielles. Sortez, amusez vous, bossez, ouvrez les yeux, suivez l'actualité. Tout est bon à critiquer et décortiquer. N'ayant pas l'impression d'avoir le quotidien le plus fabuleux de la Terre, j'estime que si je le fais, alors n'importe qui peut le faire. SI SI.

 

Ceux qui se posent des questions sur la poursuite ou non de leurs blogs : ouvrez vos yeux !  Le seul moment où un blog mérite d'être supprimé, c'est le moment où sa rédaction n'est plus un plaisir...mais une sorte de "contrainte"...

 

Ps: j'ai encore pondu une note en un seul jet. En espérant qu'elle soit compréhensible... ;-) je vous salue !