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Restless : une leçon de cinéma et d'émotion...

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Les amis, loin de moi l'idée de faire la midinette, mais j'ai vu l'autre jour une très belle histoire d'amour : "Restless". Si le synopsis peut vraiment faire peur et vous donner envie de vous ouvrir les veines avant même de l'avoir vu, c'est normal. Mais sachez juste que j'ai eu affaire à une énorme surprise. Le film est très différent de ce à quoi on peut s'attendre parce qu'il est abordé d'une manière incroyable. Du coup, on ressort du cinéma avec une sensation de bien-être et une folle envie de positiver. Le film est lumineux, poétique, les acteurs sont très beaux et surtout, Gus Van Sant ne joue pas avec vos sentiments en vous disant à quel moment rire ou pleurer.  Et ça, c'est drôlement bien. L'une des scènes les plus drôles du film est d'ailleurs incroyablement macabre, mais le détachement des héros par rapport à la "mort" est tout simplement jouissif et rend de nombreux moments très légers... BREF, à VOIR ABSOLUMENT.

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Synopsis : Bien qu’en phase terminale d’un cancer, la jeune et jolie Annabel Cotton est animée d’un amour profond de la vie et de la nature. De son côté, Enoch Brae a cessé d’avoir envie de faire partie du monde depuis que ses parents sont tragiquement morts dans un accident. Lorsque ces deux êtres à part se rencontrent à un enterrement, ils se découvrent d’étonnants points communs. Pour Enoch, dont le meilleur ami se trouve être le fantôme d’un pilote de guerre kamikaze, et Annabel, qui voue une fascination à Charles Darwin et à la vie de toute créature, c’est le début d’une relation exceptionnelle. En apprenant la mort imminente d’Annabel, Enoch propose de l’aider à vivre ses derniers jours avec intensité, au point de défier le destin, les traditions et la mort elle-même.

 

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