Ce fut compliqué, mais c'est dorénavant calé. Du 4 au 16 mai, je serai en Guinée-Bissau, pays dans lequel je suis né et où j'ai vécu les 4 ou 5 premières années de ma vie. Cependant, l'anxiété prédomine largement sur la joie de retrouver mes "origines", pour des raisons que vous connaissez peut-être déjà... Je pense également que je vais prendre une vraie claque dans la gueule et apprécier la chance folle que j'ai de vivre en France.
Commentaires
Retrrouver ses racines nous fait toujours prendre conscience de plein de choses... les petits bonheurs du quotidien, les reminiscences du passé, nos forces, nos faiblesses...
J'espère que tu retrouveras tout ça, et que tu profites à 100% de tout!
J'ai lu ton précédent billet qui est très touchant. S'en retourner vers ce qui a été ses sources, ca fait toujours ressurgir beaucoup de sensations et d'émotions sans crier gare.
Le cas de l'expatrié est encore différent du tien, mais je sais qu'à chaque fois que je rentre "à la maison", j'ai mal au coeur pendant quelques minutes. Revoir ses parents, ses grands-parents, trouver qu'ils ont vieilli, ne pas vouloir s'y faire...Les paysages, la vue depuis la chambre dont on ne se lasse pas, les odeurs familières de cuisine, ouvrir les placards et constater que ses affaires sont toujours là, c'est un sentiment étrange de connaitre et de ne plus totalement se sentir à sa place en même temps.
J'espère que tu reviendras avec beaucoup d'images, d'odeurs, de couleurs plein la tête, mais aussi beaucoup de sentiments, d'expériences partagées...et tout simplement plus RICHE de tellement de choses.
Je te souhaite un bon voyage Osmany, laisse faire les choses, pars sans t'attendre à rien, laisse toi surprendre, c'est comme ca qu'on apprécie le plus un voyage - dans un pays ou dans les méandres de ses pensées.
Reviens nous avec plein de choses à raconter, et profites bien de voir ton papa. ;-)
Je viens de lire ton billet précédent ... que je ne connaissais pas ...
Quelle chance finalement de pouvoir repartir là bas, de revoir du monde, de toucher ce qui fut ton quotidien à l'aube de ta vie ...
Cela risque en effet de ne pas être facile, mais ça reste une chance à saisir et à exploiter au mieux, à tous points de vue.
Et surtout, tâche de profiter de ce père que tu ne connais que peu car comme tu dis, cela reste une part de ta vie qui n'est pas négligeable. Il vaut mieux profiter au jour le jour de ces choses plutôt que de se rendre compte de leur importance le jour où il est trop tard.
Contrairement à toi, je rentre en Angola tous les ans... Je ne m'y fais toujours pas ;-)
Allez, courage. Ce ne sont *que* 15 jours même si souvent ça semble être une éternité !
bien.
mais ne gâche pas le plaisir et l'intensité des moments avec de l'anxiété. tu le regretterais ...
Empale-toi si t'oublie ton appareil photo !
Aïe, en Mai, tu vas cramer, non ?...mouais, peut-être un climat plus frais de part l'océan, mais quand même.
Wouaouw !
La chance !
P.S : (plus long que le commentaire...) : J'adore tes petits mots pour les critères à remplir pour laisser un commentaire !
(c'est bon, j'ai vérifié mon orthographe, seule !)
Ciao !
C'est une vraie chance, profite !
Et stresser à l'avance pour des retrouvailles qui ne sont pas encore arrivées ne changera rien;
D'accord avec Ludo.
te fais pas de bile mon grand, ça ne pourra être que du bonheur, profites en un max, les voyages forment la jeunesse