9 juillet 2006. Je me rends à Berlin pour assister à la finale de la Coupe du monde de Football entre ces enculés de ritals l'Italie et la France. 80000 personnes comme moi ont la chance inouïe d'assister à l'événement planétaire par excellence, qui rassemble plusieurs milliards de spectateurs. Les enjeux sont considérables. La pression est énorme. Le match débute, deux buts au bout de 20 minutes puis plus rien. On chantait nos bleus de France et nous dominions l'Italie, jusqu'à cette fin de match abracadabrantesque où tout s'écroulait subitement comme un château de cartes, puisque l'impensable se produisit : Zinedine Zidane se faisait expulser sous nos yeux ébahis par l'arbitre de la rencontre, un certain Horacio Elizondo, un Monsieur sûrement charmant mais qui à ce moment précis était juste un gros batard de fils de putain de chacal. Si si, un gros chacal.