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  • 28 semaines plus tard vint la déception...

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    6 semaines après l'épidémie qui a ravagé la Grande-Bretagne, les Forces Spéciales américaines débarquent en Angleterre pour aider les survivants, veiller au retour de l'ordre et à la renaissance de Londres. C'est alors que le virus refait surface...

    Quelle déception ! Pourquoi ? Parce que le scénario bascule en 30 minutes au vulgaire film d'action bourrin, parce que tout va trop vite, parce que tout est trop prévisible 20 minutes à l'avance, parce que l'ambiance globale ne fait pas peur... La question que je me suis posé durant tout le film était la suivante : Pourquoi ce scénario alors que 28 jours plus tard plaçait un cadre exceptionnel qui méritait mille fois mieux ?

    Pourtant, les ingrédients étaient là : une ville ravagée, une musique calibrée, des acteurs convaincants...La scène initiale (et quelques autres passages comme celui du métro) qui dure un peu plus de cinq minutes, filmée à la bougie et caméra à la main en sprintant laissait augurer "autre chose". Au final, vous avez un remake de "la chute du faucon noir", sauf que vous remplacez les somaliens déchaînés par des hordes de zombies contaminés. Et puis la fin. C'est quoi cette fin ? Je vous donne le titre du prochain tome. Il s'appellera 28 semaines et 28 jours plus tard... (Empalez moi le scénariste du film ! Quel dommage...)

    11 commentaires Lien permanent Catégories : Cinéma