"Qui es-tu pour vivre sous des formes aussi diverses ? Cette mort que tu donnes à laquelle rien n'échappe. Tu es aussi la source de tout ce qui doit naître. Tu es la gloire. La miséricorde. La paix. La vérité. Tu donnes aux âmes la sérénité, l'entendement, le courage. Le bien-être du coeur." / James Jones, "The Thin Red Line"
Cinéma - Page 25
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La Ligne Rouge, où la très mince frontière entre le bien et le mal, la beauté et la terreur...
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Promenons nous dans les bois...
La première partie des "Reliques de la Mort" est un peu ennuyeuse. N'ayons pas peur de le dire. Non seulement il n'y a pas beaucoup d'action ou d'événements réellement marquants, mais en plus le rythme est vraiment lent. En effet, je trouve que toute la partie ou ils se baladent de forêt en forêt, dans leur tente magique, relèverait presque de la pub géante pour Décathlon et leurs tentes Quechua qui se montent en 3 minutes. Ca papote gentiment, ca se cherche émotionnellement, mais finalement, d'un point de vue scénaristique, on n'aborde les reliques de la mort que dans la dernière demie heure, subitement intéressante.
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A bout portant : un gros BOUM dans ta face !
C'est simple, pendant 1h24, Fred Cavayé réussit l'exploit de ne pas vous faire décrocher 1 seule minute dans cette course contre la montre dans les rues et métros parisiens. Et c'est suffisamment rare pour être signalé, donc si vous avez 10 euros à claquer au cinéma après être allés voir HP7, c'est bien dans "A bout Portant" qu'il faut les mettre.