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9 juillet à Berlin : Un jour de Finale de Coupe du Monde...
Voici les photos de ma journée allemande, ponctuée par une finale qui restera dans les annales du sport... et du Kung-Fu !
Une journée qui restera à jamais gravée dans ma mémoire. Conscient de la chance que j'avais d'être là sans doute. Une fête presque parfaite si jamais on avait brandi la Coupe dorée... mais hélas, le sort nous a été défavorable. Les italiens n'ont pas mérité leur victoire et même eux le savent. Ils n'étaient même pas chambreurs après-match...c'est dire ! Enfin bon, les bleus ne peuvent que s'en vouloir eux-mêmes pour ne pas avoir su dévérouiller ce "Catenaccio"...Les pénalties, c'est la roulette russe. La défaite française s'est donc jouée à quelques centimètres suite au tir sur le poteau de Trezegol !Pour réagir sur l'affaire Zidane : Avec le recul, j'ai appris ce qui s'était passé, car dans le stade, on n'a rien compris sur le coup. Zizou est un homme, et comme tous les hommes, il a le droit à l'erreur. Cependant, je tiens à être catégorique sur quelque chose que TOUT le monde a ressenti dans le stade. Les italiens sont truqueurs, pourrissent le match...et ça a marché sur Zidane. Son geste est impardonnable, certes, mais l'italien méritait que ce coup de tête finisse dans les dents.Materrazzi est un joueur conspué dans tous les stades italiens pour son comportement violent et moqueur. Aujourd'hui ils retournent leurs vestes... Buteur et à l'origine de l'expulsion de Zidane, pour des propos tout sauf catholiques. Un match plein à "l'italienne"... -
80000 personnes, et moi et moi et moi...
Ca va filmer et podcaster sévère après ça ! -
France - Brésil...
Outre ce match extraordinaire, ces bleus qui nous font (enfin) plaisir, je retiens de cette victoire une liesse générale chez tout le monde. Il n'y a que le sport pour fédérer les gens dans une telle joie. Avec la victoire d'hier, c'est 1998 qui revient dans les mémoires. L'inconscient collectif ? Peut-être.
En tout cas, on se prend tous à rêver d'une nouvelle Coupe du Monde. Faut dire qu'après avoir sorti, contre tous les pronostics, les mangeurs de Paëlla et les danseurs de Samba... on y croit dur comme fer. Prochaine étape, les Moustachus. Il n'y a pas de raison qu'on ne les batte pas, surtout après avoir étouffé la meilleure équipe du monde sur le papier. J'y crois !
Mon bilan des français : En observant bien, tout tient grâce à ce carré magique avant tout :
Thuram - Gallas - Makelele - Vieira
Vous connaissez la Grande Muraille de Chine ? Bah là c'est pareil, mais en miniature devant les cages de Fabien Barthez. Ronaldinho s'y est cassé les dents, comme l'ensemble de l'équipe brésilienne. C'est grâce à ces joueurs que Zidane peut s'exprimer librement, car le travail défensif ne lui est pas dévolu. Ainsi, il peut distribuer des caviars à Ribery et Henry, qui se chargent de porter l'estocade finale.
Voilà, j'arrête de parler de foot, au moins jusqu'à Mercredi prochain. Allez les bleus !