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Limitless, ou le syndrôme Peau de Chagrin...

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"Eddie Morra rêve d’écrire, mais l’angoisse de la page blanche le paralyse. Sa vie sans éclat bascule lorsqu’un ami lui fait découvrir le NZT, un produit pharmaceutique révolutionnaire qui lui permet d’exploiter son potentiel au maximum. Eddie peut désormais se souvenir de tout ce qu’il a lu, vu ou entendu ; il peut apprendre n’importe quelle langue en une journée, résoudre des équations complexes et subjuguer tous ceux qu’il rencontre – tant qu’il reste sous l’influence de cette substance qui n’a pas encore été testée."


 


Limitless est un film "efficace". En effet, jamais on ne s'y ennuie "réellement" et les 2h du film défilent plutôt vite. Cependant, et ça n'engage que moi, je pense qu'on n'a pas affaire à un film génial, mais juste "divertissant", car il ne m'a pas autant pris aux tripes que je l'aurais voulu. De plus, la fin est absolument ratée selon moi, A MOINS qu'il n'y ait une suite. Mais rien ne le garantit...a priori. C'est donc davantage une question de "forme", pas de fond, car je dois admettre que j'ai adoré le postulat de base, qui m'a fait penser à l'une de mes lectures les plus intéressantes du Lycée : "La peau de Chagrin", de Balzac. A l'instar de ce roman, "Limitless", est l'histoire d'un homme qui se retrouve soudainement en possession de ressources fantastiques, mais loin d'être inépuisables... Bref, vraiment bien sur ce coup là, car mon empathie a fonctionné à fond et je me suis demandé ce que j'aurais fait si j'avais des pilules de "NZT" dans mes mains.

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1 commentaire Lien permanent Catégories : Cinéma

Commentaires

  • Exactement pareil ! C'est un film plaisant à regarder car le rythme est soutenu et les effets sont sympas. Par contre, c'est assez faible sur le scénario, l'idée est pourtant bonne mais pas assez bien exploitée à mon sens. C'est dommage.

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