Shooting photo #10 : Sophie-Lise

Billevesées du week end...

Je sors beaucoup, je rencontre énormément de monde, je shoote dans tous les sens et du coup j'ai moins le courage et le temps de bloguer alors que j'ai plein de choses à graver dans le marbre. L'important est que l'envie soit toujours là, indéfectible depuis 3 ans. Bon, et sinon, quoi de neuf? Le contrat de location pour mon appart dans le 13eme est entre mes mains. Il faut que ma caution aille à la mairie pour faire une signature "officielle" (une histoire de tampons). Je vous jure, s'ils pouvaient me faire un toucher rectal pour vérifier que je suis un bon locataire, ils l'auraient fait :-). Quoi d'autre? Ce week end, je rejoue au foot, après quasiment 3 mois sans faire de sport. Ca se trouve, ceci est la dernière preuve de ma vie sur Terre car il se peut très bien que je fasse un arrêt cardiaque sur la pelouse, alors profitez-en jeunes et vieux fans de la première heure. Dimanche, je shoote un concours d'équitation, je crois que ça va être très sympa comme expérience visuelle. Cependant, je me méfie, car mon talent pou enlaidir les gens marche peut-être également avec les chevaux ? J'aurais moins la classe que Robert Redford si c'était le cas. Vous imaginez un peu ? "L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux et qui les enlaidissait", ca ne ferait pas très vendeur sur une jaquette DVD/Blu Ray. Bref. Enfin, lundi, je fais une formation client toute la journée au boulot. J'ai une de ces pressions  (client TRES GRAND compte) et j'espère que tout se passera bien. Pour finir, quel crime faut-il commettre pour se faire arrêter et menotter par Beyoncé Knowles? C'est où elle veut quand elle veut. Je dis ça, je dis rien.

Les Noces rebelles, ou la question implicite du bonheur impossible...

Le week end dernier, j'ai vu "Les Noces rebelles" au cinéma, soit le retour fracassant de Leonardo Di Carpaccio et de Kate Winslet ensemble au cinéma. C'était un film globalement ennuyeux mais relativement prenant et à la fin dramatique. Mais avant d'aborder les questions qui fâchent, lisez le synopsis. Maintenant que vous l'avez fait, nous pouvons débattre. Comme vous pouvez le constater, ce couple a tout pour être heureux, mais pourtant il est victime de la routine et du "conventionnel" et part complètement en cacahuète... Se posent alors les questions suivantes : Le bonheur existe-t-il? Croyez-vous que le genre humain soit un éternel instatisfait? Qu'est ce que l'amour ? Après un film comme celui là, on n'est vraiment plus sûrs de rien... Mon avis est que le bonheur existe, mais qu'il n'est pas éternel. Nous nous habituons à tout et en voulons toujours plus, ou autre chose à un moment donné. Eternels insatisfaits? Dans la globalité, oui. A la question "qu'est-ce que l'amour?", je n'ai pas de réponse. Peut-être est-ce tout simplement le fait/la capacité de pouvoir vivre en harmonie avec quelqu'un et de sentir que l'on va dans une même direction ensemble?