Journée de la femme (Version poète à deux balles)

" Elles sont magnifiques
Un rien mystiques
Ce qui fait leur charme
Qui tourmente nos âmes
Elles nous subliment dans un dédale
Et pourtant sans râles
Nous les suivons
En sachant pertinemment où nous allons
Elles sont vicieuses
Rarement malines
Souvent malheureuses
Et parfois sanguines
Telles des nymphes jouvencelles
Elles tissent des méandres
Pour nous attirer dans un linceul
Elles nous entraînent vers elles
Pour tout nous prendre
Et pour pleurer, elles ne nous laissent qu’un oeil."

 

Trouvé ici... Si vous en connaissez l'auteur manifestez vous... 

 

De l'art télékinésique : Save the Cheerleader, save the World !

Dolce&Gabbana a réussi son coup : faire parler de la marque...

A la suite d'échanges intéressants avec Cath, j'ai voulu à mon tour rebondir sur le scandale publicitaire du moment : une affiche de Dolce&Gabbana pour la collection 2007. Celle ci montre une femme plaquée au sol et entourée par 4 hommes. Les regards froids et le fait que la femme semble se débattre (vu sa posture) ont choqué beaucoup d'associations féministes et la publicité vient d'être interdite en Italie, depuis Lundi, pour incitation à la violence.

 

Moi je trouve que la publicité n'est pas si choquante que ça, mais je risque encore une fois de me faire empaler par certains. J'ai déja vu bien pire et bien plus humiliant que ça. Comment ose-t-on interdire ce genre d'affiche, alors que de l'autre côté on passe dans tous les cinémas le film "Irréversible", dans lequel Monica Belluci se fait violer pendant 9 minutes avec un réalisme incroyable ? Si les vêtements des protagonistes étaient de l'attirail sado-masochiste, tout ça relèverait du fantasme et ne choquerait plus personne... Donc à mes yeux, deux poids deux mesures, tout simplement.